Le développement durable au coeur

Le déstockage, qui consiste à vendre des produits invendus ou excédentaires, est souvent considéré comme une pratique non durable car elle encourage la production excessive et le gaspillage. Cependant, certaines entreprises ont commencé à adopter des pratiques plus responsables, comme la réutilisation et le recyclage de leurs invendus. Les entreprises cherchent également à réduire leur production en s'alignant sur une production plus juste. Les produits de seconde main ont également gagné en popularité, encouragés par des plateformes de vente en ligne telles que Vinted ou Leboncoin, pour ne citer que quelques exemples. Les consommateurs cherchent à prolonger la durée de vie des produits en les réutilisant plutôt qu'en les jetant. Les pratiques commerciales durables sont devenues une priorité pour les entreprises, qui cherchent à réduire leur empreinte environnementale en utilisant des matériaux recyclables, en réduisant leurs émissions de gaz à effet de serre et en s'engageant dans des pratiques éthiques et durables.


L'industrie de la mode est responsable d'une grande partie de la pollution mondiale, avec environ 10% des émissions mondiales de gaz à effet de serre.



En réponse à cette situation, de plus en plus de marques en France ont adopté des pratiques de production plus durables. Selon une enquête menée en 2020 par OpinionWay pour le compte de l'Institut Français de la Mode (IFM), plus de 70% des marques interrogées ont déclaré avoir engagé des actions en faveur du développement durable, tandis que plus de 60% ont déclaré avoir des objectifs en matière de responsabilité sociale et environnementale. Une bonne nouvelle.


Chez Gant, par exemple, jusqu'à 85 % des matières utilisées proviennent de fibres naturelles. Le coton est la fibre la plus utilisée, représentant 76 % de toutes les matières employées. Les matières naturelles sont renouvelables et n'émettent pas de microplastiques, tout en maintenant la qualité et la durabilité qui font la réputation d'un produit Gant. A vérifier, en tout cas, dans la durée et à l'épreuve des faits. Que si le Titanic de la civilisation doit se précipiter sur le dernier iceberg que laissera dériver le grand dégel, il faut au moins que l'homme, son capitaine, garde la tête froide : c'est le reste de dignité, le dernier point d'honneur que l'on attend de lui.

Car la panique ne saurait se faire passer pour l'action, ni la culture de la panique pour l'exercice des responsabilités.

La particularité de la situation tient au fait que l’homme est à la fois le problème et la solution. Nous sommes collectivement les principaux responsables de la catastrophe annoncée, nous en sommes les victimes désignées mais aussi les seuls à pouvoir agir sur les leviers qui peuvent encore changer la donne.

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